Virgin, Joe Mobile, Systeme U, Zero, ces MVNO (Mobile Virtual Mobile Operator), et d’autres, ont payé au prix fort le prix d’une concentration nécessaire à la relance d’un marché de la téléphonie mobile trop concurrentiel. Ce bouleversement du paysage des télécoms est dû à l’arrivée d’un quatrième opérateur. En l’occurrence, Free qui s’est lancé dans une guerre des prix. S’appuyant sur son métier de base, l’accès haut débit notamment via ADSL, il a lancé des offres bon marché qui menaçaient les trois autres NMO (Network Mobile Operator ou opérateurs hôtes) : Orange, SFR et Bouygues Télécom. À leur tour, ceux-ci ont baissé leurs tarifs pour éviter une fuite massive de leurs clients vers Free. Du coup, les MVNO, qui jouaient sur la différence entre leurs tarifs et ceux des NMO, ont été étranglés.
Parallèlement, sur le marché du B2B (plus de 600 opérateurs déclarés), l’innovation n’a jamais autant offert d’opportunités commerciales, techniques et financières. Des services nouveaux sont apparus, tels que la communication unifiée ou la convergence fixe-mobile.
Conséquence, les offres fondées sur les seules performances du réseau sont révolues. L’investissement dans les équipements croque une belle part de la capacité financière des NMO, sans pour autant leur garantir du chiffre d’affaires. Les forfaits compliqués et alambiqués sont, eux aussi, en retrait. Sur le marché des entreprises, les opérateurs ont compris que les lourds investissements réseaux ne leur permettront pas de se démarquer de la concurrence.
Des intermèdiaires-parasites avec très peu de personnel n'ayant eu comme raison d'exister que de jeter de la poudre aux yeux d'un semblant de concurrence.
et alors ... Des intermèdiaires-parasites avec très peu de personnel n'ayant eu comme raison d'exister que de jeter de la poudre aux yeux d'un semblant de concurrence.
Toujours aussi con...
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